Plus aucun suspense possible. Le prochain Dylan concernera, à nouveau, la Rolling Thunder Review de 1975-76. Ah oui ?
Premier indice sur Netflix : Martin Scorcese a visiblement eu accès aux rushes de Renaldo & Clara, imbuvable film du Bob tourné pendant ces deux années, et te les a remoulinés en un rockumentaire. Bien joué, Martin, y'a pas de petits profits...
Et vas-y, disponible en juin :
Deuxième indice sur Spotify : Un morceau disponible en prime-time : une répète de la-dite tournée, One More Cup Of Coffee. Et un joli visuel :
...qui laisse penser à un gros gros coffret (y'a matière ceci dit).
La suite logique des sessions de Blood On The Tracks, donc, et dont on se demande si - on l'espère - ce coffret sera gargantuesque à prix modique (comme les concerts de 1966) ou en édition ultra-limitée à prix gargantuesque (les sessions studio complètes de 1965-1966). Vu qu'il n'y a pas marqué Bootleg Series sur la vignette de Spotify, on peut espérer s'en tirer à pas trop cher (renouvellement de copyright oblige). Mais vous ratez pas les gars, il nous faut TOUT sur ce coup-là, pas un bête double-CD. Répètes et concerts, tout. 60 CD à 200 balles, genre. Siouplé.
Et puisque semble-t-il c'est la chronologie qui l'emporte, pour la tournée de 1978 je me contenterai du concert à Nuremberg. Rien que pour la version apocalyptique de Masters Of War, en ces lieux - mon dieu ! Mais on verra ça plus tard, hein ?
Bref, ce soir j'aurai du mal à m'endormir, une fois de plus.
Le single est ici (merci Anonyme !)
Edit : Ca y est, deux jours après le post, la nouvelle tombe : 14 CD, 100 $.
https://bobdylan.shop.musictoday.com/dept/the-rolling-thunder-revue?cp=73047_105296&src=MSGR475847
Le single :
RépondreSupprimerhttps://www.mediafire.com/file/fxbtm6nly7hqgcv/BD.rar/file
Hey merci pour tous, Anonyme !
SupprimerTu peux nous rappeler qui est (était) Bob Dylan !!!!!
RépondreSupprimer:-D
Non. J'ai déjà dit tout le mal que je pensais de ce garçon dans ces colonnes et je méprise ta remarque fielleuse tentant de m'y faire revenir. Vade retro Keith, je vais désormais en dire du bien à nouveau.
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