N'empêche.
Crache Ton Venin.
Quelle putain de claque à l'époque. Disque dangereux. La caissière de chez Carrefour s'amusait toujours à sortir la pochette intérieure et vérifier à la fois l'état du disque et l'absence de single coincé dedans, sait-on jamais. Et quelle pochette intérieure... gros risque, donc, d'acheter ça avec papa/maman à 12 ans. Connaissait-elle ce disque ? Va savoir... le passage à la caisse s'est bien passé.
Et quelle putain de claque !
Faits Divers, Crache Ton Venin, Un Peu De Ton Amour... en plein dans la figure ! Sans parler de La Bombe Humaine, seul moment de répit en fin de la face A, finissant avec la même violence qu'un Stairway To Heaven, le reste étant dévolu a un putain de rock'n'roll sans fioritures. Pas la moindre trace de guitare acoustique, pas de faiblesse. Au pire, un relent de Chuck Berry survitaminé un peu facile, au mieux, une belle décharge d'adrénaline.Out, Genesis, Supertramp et consorts. Une putain d'envie d'avoir une guitare, électrique, bien sûr. Des power chords comme s'il en pleuvait. Un superbe album pour adolescent boutonneux introverti, un super groupe pour ceux qui, déjà, larguaient les amarres en 6ème pour choisir l'herbe et la bière. Le punk en Meurthe-et-Moselle disponible au Prisunic. Avec la voix de fluet de l'Aubert de service rendant tout ça merveilleusement androgyne, bizarre, décalé, fragile... dangereux, quoi ! Pas trop, pas suffisamment peut-être, mais bordel ! Je pense à eux à chaque fois que je plaque un mi majeur sur ma telecaster.
Evidemment, les andouilles à la voix bizarre fleuriront par la suite. Du Saez d'aujourd'hui au Murat d'hier, le décalage sournois et malsain des Téléphone portera ses fruits pourris dans les business plans d'Universal. Alors que les Ici Paris, Kas Produkt et autres resteront branches plus ou moins mortes. Oui, c'est sûr, c'est bien triste ma pauvre dame. Mais de là à renier ce putain d'album, non, non, non.
Production brute de coffre, sèche, tranchante, Martin Rushent, c'était pas lui qui s'était occupé des Stranglers et des Buzzcocks ? Oh et puis qu'importe. Un album qui ne sonnait pas frenchy dans ces années-là, guitares méchantes et sans concession, que demanderait de plus la jeunesse giscardienne ? Dans ta gueule, dans tes oreilles, dans tes yeux, ça promettait grave. Oh et puis cette version live d'Un Peu De Ton Amour sur le double 45 tours à paraître...
Bien sûr, les promesses n'engagent que ceux et celles qui y croient. On y croira encore un peu, le temps d'une ou deux chansons, Au coeur de la Nuit, Fleur De Ma Ville, et puis, vaguement contents d'avoir choisi le bon bourrin quand Argent Trop Cher passera en boucle sur Platine 45 et puis...
Tu vas me manquer...
Je l'ai ! Je l'ai !!! Avec sa pochette transparente. Hey ! On savait s'amuser à l'époque.
RépondreSupprimerAprès un premier 33 tours en forme de feu d'artifice multicolore, nos Parisiens chéris nous livre une œuvre d'une noirceur abyssale, sur laquelle règne l'ombre maléfique des Stones. Ils ont tant craché de venin, qu'ils n'arriveront plus jamais à reproduire une telle intensité électrique.
"Le Bombe Humaine" est sans doute l'une des plus belle chanson du répertoire francophone. Et cet album mérite une place sur le podium des plus grandes œuvres du rock français.
Amen !
Telephone...
RépondreSupprimerAdo j'avais du mal avec eux...
Puis, je les ai vus à Montreux...
Une claque énorme !
Ils étaient coincés dans un de ces concerts de Nobs fourre tout au beau milieu de Aswad (fabuleux également) et de Johnny Winter (énormissime).
Pour une fois, je me souviens avec précision des trois groupes, chose rare dans ce genre d'exercice et là, ils avaient donné le max.
J'étais sur le bord, à coté de Corinne...
Hargne et sourires de bonheur partagés.
Alors, même si aujourd'hui je peux vraiment pas saquer Aubert, petit bourge rock'n'rollesque à la prose ou aux vers dignes d'un gamin de CM2, même si je trouve Bertignac pitoyablement pitoyable, même si je sais que la seule à être resté fidèle au rock est Corinne et que je me demande ce qu'on a fait pour qu'un batteur aussi balaise que Kolinka se retrouve sur le tapis, même si tout ça et que les téléphones sont aujourd'hui en forfaits et portables, dans ces années là, le rock en France avait besoin de ça.
Enfin !
Et puis, ils restent une référence adolescente même aujourd'hui et chaque année j'ai au moins trois groupes d'ados qui veulent en jouer, multigénérationnels que ces riffs et ces paroles directes...
M...
Au passage tu parles de Giscard, bad souvenirs...
Celui-ci je me rappelle l'avoir beaucoup écouté à sa sortie. Avec la fougue de la jeunesse prête à s'enflammer pour une poignée de brûlots rock.
RépondreSupprimerAprès j'ai lâché rapidement Téléphone parce que je ne me reconnaissais pas dans les suivants. Les Argent trop cher et autres Ça c'est vraiment toi me donnent toujours des boutons.
Sans renier ce que j'ai aimé autrefois je n'éprouve plus vraiment de plaisir à réécouter Téléphone. J'ai écouté encore très récemment le premier, et l'écoute m'a rappelé qu'un critique rock de l'époque les avait qualifiés de Rolling Stones auvergnats ou un truc dans le genre. Et tout en y repensant j'ai trouvé que d'une certaine façon c'était trop propre, trop bien fait. Les riffs manquent du petit dérapage qui pourrait leur donner un peu de magie, le chant d'Aubert est trop retenu. On dirait qu'Aubert ne s'engage pas complètement, limite les risques, ne se sort pas assez les tripes. Des élèves appliqués mais en manque de personnalité.
Ok, ça reste une référence dans le paysage rock français. Mais ces gens-là ont si mal tourné...
Je trouve beaucoup d'aigreur dans vos propos, les gars. Et tout le monde en prend pour son grade. Même ce pôôôvre Richard qui malgré tout demeure le plus "beau" batteur, scéniquement parlant. Il y a quelques années, j'ai suivi un concert d'Aubert à 10 mètres de Kolinka : c'est un spectacle à lui tout seul... et pas avare de poignées de main, après le concert. Jean-Louis a passé les 50 ans, son âme s'est apaisée... sa musique aussi. Ça reste un auteur-compositeur de tout premier ordre, avec une écriture identifiable à la première écoute. Je ne connais pas beaucoup d'élève de CM2 possédant une telle plume. Bertignac ? Qu'est-ce qu'il a de pitoyablement pitoyable ??? Ben, flûte alors (pour ne pas dire "merde" !!!), lui aussi je l'ai vu sur scène et ça bastonne encore sévère. Son jeu de guitare est d'une virtuosité extraordinaire. Et je ne crois pas que ce soit dans les cellules du PS qu'il ait appris le solfège !!!
RépondreSupprimerMême si la discographie de Téléphone reste de qualité moindre après "Crache ton Venin", ça reste et restera l'un des plus grand groupe de rock de l'Hexagone, en plus d'un formidable accélérateur de particules.
Viva el Telefono !!!!!
Goûts générationnels obligent, impossible de te contrer là dessus...
SupprimerEt j'essaierais même pas.
Mais je persiste à dire que j'ai vu effectivement il y a un temps un groupe qui emportait les foules et qui faisait du bien.
Je maintiens que richard a été et reste certainement un grand batteur, pour sur et que Corinne est surement le réel pilier rock de ce qui est devenu une foutaise commerciale.
J'ai failli croire au retour de Aubert, Bertignac a produit Carla Bruni ... PS ? tu dis ?...
Oui je suis dur mais qui aime bien doit bien châtier également et quand ado tu as un groupe comme ça qui émerge tu es en droit d'attendre d'eux tellement plus que le rattrapage financier télévisuel à la "The voice" (hé oui, ça me dérange, désolé... puisqu'il faudra bien mettre ça aussi sur le tapis, faisons le tout de suite) et autres erreurs de parcours.
Oui, je sais vivre du rock en France est dur, impossible peut être, utopique surement, ou alors on se condamne à l'underground ou la précarité.
Mais le star système rock n'épargne pas les autres des autres pays non plus...
Jagger, Sting, Bono... ont surement un train de vie à maintenir, forcément quand les royalties de Roxanne, Satisfaction ou With or Without You tombent, ça doit faire du bien...
Aubert lui, peut au moins se dire qu'il se range sur la même étagère (celle des Johnny, Mylène ou Sardou), une consécration, finalement, en soit et si Telephone l'a amené là, alors vraiment sincèrement tant mieux pour lui...
Pas celle (d'étagère) qu'ado je répète, j'attendais d'un groupe qui, à défaut d'être génial ou original, entendons musicalement, avait au moins le mérite de bouger le cul de l’establishment. Alors désolé, une progression en tourne de veste ne rentre pas dans ma philosophie du truc.
Complètement différent mais comparable côté éthique, tu regardes Magma. Pas un poil de concession, un engagement sans faille et un parcours sur la durée, qu'on aime ou pas (là n'est pas le propos ni le sens de ce que je veux dire en parlant de Telephone) qui n'a jamais renié le truc originel. je ne pense pas que ça doit être simple pour eux tous les jours, mais l’intégrité a... un prix.
Et rien que pour ça, hors propos musical ou purement de kiff technique (encore heureux que Bertignac sache jouer de la guitare, car avec le pognon que Telephone lui a rapporté ce serait malheureux qu'il ait oublié de bosser son manche), de tels groupes qui perdurent eux, ont toute mon estime (et encore une fois ça n'a rien à voir avec leur musique, juste leur respect d'un engagement initial).
Je suis, dur, intransigeant, infect et tout ce que vous voulez.
J'assume.
Cela ne m'empêche pas de faire jouer des titres du groupe chaque année à mes ados, ça n'a rien à voir avec l'idée que j'ai de ce groupe coté éthique pure. Etant incontournables de notre "culture" rock française, je remplis donc ma mission professionnelle en le faisant...
En toute conscience et je n'évite pas de m'en exprimer d'ailleurs...
Comme toujours, dans ces propos de commentaires, il faut éviter la lecture de premier degré.
Il y a ce qu'on pense, ce qu'on dit, ce qu'on fait, et ce pourquoi ont fait ces trois choses. Simple question d'angle.
Réaction épidermique, désolé.
Aigreur peut être... on tenait là, pour une fois, un truc...
Oops, j'ai failli supprimer ton commentaire par erreur ! Et grand mal m'en aurait pris, c'est pas le genre de la maison. 100% d'accord avec toi, ce groupe est un naufrage, mais il a été un beau vaisseau le temps au moins de cet album. Et puis, si l'on devait comptabiliser les déceptions et les traitrises de l'adolescent devenu adulte, y'aurait aussi Karine, Danielle, Emmanuelle et les autres, enfin, en ce qui me concerne ;o)))
SupprimerCa pose la réelle question de ce que le rock, au sens "classic" du terme, est devenu, à supposer qu'il ait jamais été autre chose qu'une immense farce. Il paraît qu'Iggy Pop est infect côté coulisses, lorgnant uniquement sur la thune, on sait tous comment Led Zep était faux-cul avec son public - la thune la thune la thune - alors oui, il reste peut-être le jazz, des extra-terrestres comme Magma, The Fall, et quelques autres ?
La suite de cet album explique peut-être, pour ma part, pourquoi je ne crois pas une minute à des produits comme Izia et tant d'autres (Jack White et Black Keys inclus)...
Merci encore pour ton commentaire.
Merci de ne pas avoir dérapé avec la souris...
SupprimerLe problème (et je vis ça avec mes articles sur mon blog principalement liés à le musique en tant que connexion avec la vie) c'est le regard et le recul.
Que des star ac, des voice ou des nouvelles star existent, ça ne m'a jamais dérangé, bien au contraire. C'est grâce à eux que depuis quelques générations la musique est revenue en force dans certains esprits...
Ça fait une bonne alternative avec le foot...
La thune est bien sur la toile de fond, mais derrière tout cela de mon côté je récupère un max d'élèves qui imaginent qu'en s'inscrivant au Conservatoire, ils franchiront un jour les étapes afin de réussir devant les autres...
Puis, si je fais bien mon boulot, cette idée va s'estomper d'année en année et ils deviennent de vrais pros ou d’excellents amateurs. Je n'en demande pas plus.
Ceci dit, mettre comme échelle de valeur (donc pognon en avant, malheureusement) l'idée qu'un musicien, une/un chanteuse (eur) est aussi capable d'avoir un salaire et de vivre de la zic, en France, c'est en soit pas si mal.
Le succès fait et a toujours fait rêver, il implique la reconnaissance (ce truc dont chaque artiste a impérativement besoin pour vivre et continuer, si ce n'est flatter son égo qui s'enflera en fonction de celle ci), parfois l'aboutissement d'années de travail (ou de trois mois de star ac', selon...) et bien sur le pactole qui va avec.
Alors blâmer ceux qui réussissent par ténacité, par talent (il y en a, mais c'est on ne se peut plus subjectif), par hasard ou piston (j'ai démonté Delerm récemment et je n'en ai pas honte...) n'est pas spécialement de bon aloi, à partir du moment où le protagoniste ne se ment pas à lui même... Car derrière lui il y a ... un public, des attentes, de croyances et parfois, du fanatisme (d'où fan)...
Le fan de la Jennifer des débuts est heureux de la voir s'enrichir, de la voir devenir femme, de constater qu'elle est tout autant amateur qu'à ses débuts tout en progressant malgré tout. Il serait déçu, par contre, de la voir monter un groupe type Joan Jett.
Le fan de, allez pour changer, disons, Trust, aurait plutôt du mal à les voir participer à une émission de TF1...
Pour autant, l'un comme l'autre ont besoin de succès, de bouffer, de s'affirmer, d'exister...
La farce, donc, de la vie...
Pas drôle tous les jours...
Un certain Shakespeare disait "Etre ou ne pas être"...
Sans philosopher, outre mesure, Lavilliers a écrit l'une des plus belles chansons sur l'univers carcéral avec Betty... Tout en signant chez Barclay...
Bref, c'est un sujet sans limites et sans fin...
Moi non plus je ne crois pas en Izia (je n'ai jamais cru en Higelin d'ailleurs...).
Gainsbourg, lui, au moins avait une provoc' honnête, commercialement honnête, car celle ci étant calculée en plus elle lui rapportait....
Malin...
Allez, on aura l'occasion de deviser au fil des comm's car, je ne crois pas que ce sujet en restera là...
à + et merci
Passé une certaine heure, voire une heure certaine, des citations me reviennent aussi, alors, puisque tu cites Shakespeare, je le citerai aussi, certes après Faulkner : La vie est une histoire racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et ne signifiant rien. Ce qui m'amène à citer feu l'immense Joey Ramone : Gabba-gabba-hey !
SupprimerCeci dit, j'aurais pu citer le Marsupilami aussi et contredire ainsi ma thèse trop brèvement présentée...
Pour garder un peu de distance et d'humour par rapport à tout ça, ci-dessous des liens pour une parodie de Téléphone.
RépondreSupprimerLe groupe s'appelle Bidophone et l'album Cache ton machin. Que des covers de Téléphone avec détournement des paroles. Humour très pipi-caca, mais une fois de temps en temps ça peut pas faire de mal.
4 liens parce que c'est du flac :
http://www.mediafire.com/?3w8smkbcpz1nc4q
http://www.mediafire.com/?6gjc5br4rs74fss
http://www.mediafire.com/?41ed3lin4uiuauu
http://www.mediafire.com/?d6rn888345clacc
Les fameux Rolling Bidochons alias Sex Bidochons alias Beadochons ("pas d'papier water") ? Ah, d'accord avec Keith, quel joli cadeau !!!
SupprimerMince, quel con, je n'avais même pas fait le rapprochement avec les Bidochons. La honte...
Supprimer@ Pascal Georges
RépondreSupprimerNous sommes au moins d'accord pour dire que Bertignac n'avait rien à foutre dans "The Voice"... pas trop Rock and Roll comme démarche !!!!!
@ Till
RépondreSupprimerC'est pas beau, ce que tu fais là !!!!!
X-D
Hé hé après le Zeppelin en Mongols Fiers, je n'ai plus peur de rien. Aïe, pas les rotules !
SupprimerIntéressant, mais triste. Cela me semble prouver allègrement leur sincérité et leur foi au départ, et puis... on part à New-York, on enregistre avec Bob Ezrin dans le studio à côté de celui ou John Lennon enregistre et puis... Les bourgeois, plus ça devient vieux, plus ça devient con, vieux refrain connu, et je suis parfois le premier à être mal à l'aise, même si je ne pense pas (et mon banquier non plus) être un bourgeois. Enfin, j'ai quand même une vraie Stratocaster mexicaine achetée chez Easy Cash pas chère parce que les potards grave/aigu ne fonctionnent plus !
RépondreSupprimerMerci mille fois pour tous vos commentaires... Tout ça me fait penser à mon post de Kiss lors du dernier grand concours... Je me répète, mais même s'ils ne savaient pas jouer, quelque part, leur démarche tellement grotesque avait au moins l'honnêteté d'être tellement caricaturale qu'il fallait vraiment être bête pour croire qu'ils avaient un message à délivrer. Y a-t-il du mal à aimer le cirque ? Balavoine a-t-il propulsé sa carrière en apostrophant Mitterand ou était-il franchement "concerné" par ce qu'il disait ? Sardou était-il vraiment facho quant il couinait pour la peine de mort ou bien était-ce de l'humour au 13ème degré, donc délicieux et perfide comme Cohen ou Dylan ont pu en faire ou encore un acte promotionnel visant à attirer les faveurs du beauf qui sommeille, d'après le résultat des élections, facilement dans 50 à 70 % voire 90% de la population française (tout dépend où l'on place le curseur) ? Charlie Hebdo cherche-t-il à augmenter ses ventes ou à provoquer le débat avec ses caricatures du Prophète ? Philippe Val à France-Inter qui... enfin bref. Un débat sans fin effectivement. Toujours est-il que j'ai horreur d'écouter Balavoine, que certains dessins dans Charlie me font parfois rire et que ce disque de Téléphone m'éclate toujours. Enfin bon... faut que je prépare mon nouveau post, on va continuer à explorer l'hexagone des seventies...
RépondreSupprimerComme quoi Telephone peut encore créer le débat...
SupprimerJ'aime le cirque, pas de honte à ça, je ne suis pas monégasque pour autant - Rien qu'à citer Balavoine et il me pousse les restes de boutons de l'adolescence, la starmanie, vois tu - et tu m'achèves avec Sardou, car lui, à chaque fois que je le subis j'en suis (réellement) malade (pas Lama, Sardou, hein ? Car Napoléon c'est pas non plus mon fort...) - Le dessin humoristique ? Un peu comme la bonne grosse vanne du pote de soirée, tout dépend comment c'est raconté, car ce qui prime, c'est malheureusement pas le fond, mais juste..; la forme - je n'écoute pas France Inter, à choisir, dans la voiture (car ce serait bien le seul endroit ou j'écouterais la radio), finalement je me mettrais "Crache ton venin", là, au moins, quelque part, j'accueillerais le grand rock'n'roll circus à la française dans l'habitacle, à fond la caisse (le son, car désormais vu le paquet de radars, on lève le pied) bien sur et justement, quel pied de redevenir (un instant...) un ado plein de croyances et d'espoirs (tiens au fait, hier Bono rendait visite à Hollande - il doit chanter en hymne "with or without you" à sa Ségolène en souvenir...).
Bon j'arrête là mes connerie...
J'ai failli partir sans mon Iph... mon téléphone ce matin...
à+
Je l'avais en K7 (boitier rouge dans mon souvenir..) aujourd'hui disparue et remplacée par ce vinyl mythique, ainsi que le 45 avec livret 4 titres avec Anna et Flipper. On te donne 3 baaaalles...;))
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